
[*RÉSISTANCES…RÉFLEXIONS…*]
– Le Queer est-il l’avenir de l’homme… Et de la femme ?, Alain Musset
– La « ville créative » : un nouveau mythe urbain pour de nouvelles mystifications urbanistiques, Jean-Pierre Garnier
– Paris sans le peuple. La gentrification de la capitale, Anne Clerval, Jean-Pierre Garnier et la revue Les Zindigné-es
– La coupe est pleine ! Mobilisation de soutien aux mouvements sociaux brésiliens
– Rosa Luxemburg face à la guerre, Jean-Michel Kay
– Luis Villoro, le philosophe de la démocratie radicale, Gérard Malgat
– Comment garder la tête froide après la gueule de bois électorale ? Au-delà de la vigilance anti-fasciste, Yves Pagès
– Le destin des merveilles, Nestor Potkine
– Déni d’histoire. Les républicains espagnols de la Nueve entrent dans Paris. Programme et manifestations
[*INTERNATIONAL*]

– Des communautés mayas en lutte pour leurs terres. San Juan Sacatepéquez contre l’entreprise CEMPRO, Alain Musset
– Non, les violences physiques ne sont pas inhérentes au crime de viol en droit pénal tunisien, Monia Ben Jémia
[*CINÉMA… THÉÂTRE…TV…*]
– Seconds. L’opération diabolique, film de John Frankenheimer. CP
– Il a plu sur le grand paysage et Le grand paysage d’Alexis Droeven de Jean-Jacques Andrien, CP
– Cinéma et résistance au franquisme. Mort d’un cycliste de Juan Antonio Bardem, El Verdugo de Luis Garcia Berlanga, La Caza de Carlos Saura, Christiane Passevant

– Jacques Demy. L’enfance retrouvée, Alain Naze. CP
– Supplément au voyage chez Jacques Demy, Alain Naze
– Marianne Khoury : portrait d’une passionnée de cinéma, Christiane Passevant
– Éléphant, mémoire du cinéma québécois, CP
– Les images que nous sommes. 60 ans de cinéma québécois, Serge Bouchard
– Je ne suis pas lui, film de Tayfun Pirselimoglu. Ph. Le Bastard
– Circles, film de Srdan Golubovic, Ph. Le Bastard
– Black Coal, film de Diao Yinan. La Chine d’en bas, Ph. Le Bastard
– Baraque de foire, Jérémy Beschon. Alternative Libertaire. CP
– La Nueve mise en scène par Armand Gatti, photos CP
[* LIVRES, REVUES*]
– Villes rebelles. De New York à Sao Paulo. Comment la rue affronte le nouvel ordre capitaliste mondial,collectif
– Départ volontaire, Jean-Luc Debry. Claire Lartiguet-Pino
– Peut-on parler avec l’ennemi ?, Alain Brossat

– La censure militaire et policière 1914-1918, Maurice Rajsfus et Militants contre la guerre 1914-1918, Julien Chuzeville. Christiane Passevant
– Rosa Luxemburg, John Peter Netti
– La banlieue du « 20 heures ». Ethnographie de la production d’un lieu commun journalistique, Jérôme Berthaut. CP
– Présences, Christine Jakobs. CP
– La Fille des camps, Nadia Sweeny. Christiane Passevant
– La griffe et le velours, Serge Utgé-Royo
– Cent ans de capitalisme en Algérie. Histoire de la conquête coloniale, Robert Louzon
– Le Pacifisme et la Révolution. Écrits politiques (1914-1918), Bertrand Russell
– Le déshonneur des poètes, Benjamin Péret. Les syndicats contre la révolution, Georges Munis
– Lettre ouverte à ceux qui sont passé du col Mao au Rotary, Guy Hocquenghem
– Une controverse des temps modernes. La post-modernité, Eduardo Colombo

– Rapports à la nature, sexe, genre et capitalisme, J. Wajnsztejn
– Un printemps rouge et noir. Regards croisés sur la grève étudiante de 2012, Collectif sous la direction de Marcos Ancelovici et Francis Dupuis-Déri
– À qui la rue ? Répression policière et mouvements sociaux, collectif, direction de Francis Dupuis-Déri
– L’idéologie sportive. Chiens de garde, courtisans et idiots utiles du sport, Quel sport ?
– Bienvenue dans un monde d’esclaves. La face cachée des entreprises de services du numérique, Anne Scotté
– CQFD, n° 124, été 2014
[*NOUVELLES, ESSAIS, EXPRESSIONS…*]
– Ombres nomades (2), Issa Wachill
– 1987. Voyage en Chine, Jean-Noël Velland
– Mon mec, Nicolas Mourer
[*BLOG DE MAYA LE MANER*]
– Femmes et violence
– États-Unis
– Médias et crimes de guerre
– Antiracisme et riposte sociale
– Miracle et procession sur la plage
– Détournement félin !

– Et si l’on repassait au franc ?
[*PHOTOS… ART… VIDÉOS… SONS*]
– 1er mai libertaire. 2014, Christiane Passevant
– Sur les murs de Lisbonne
– Rue du Marché des Blancs Manteaux, CP
– Un jour mon prince viendra ? Il n’existe pas !, CP
– Salon du Livre Libertaire 2014, Christiane Passevant
– Paris. Rue du Roi de Sicile, CP
– Politiciens discutant du réchauffement planétaire
– Le Medef, "partenaire" social ? Quelle comédie !

La mobilisation des intermittent-es, malgré les tentatives de détournement tendant à en minimiser l’ampleur, se poursuit avec les difficultés que cela représente pour ceux et celles qui sont directement impliqué-es et les conséquences qui découlent du mouvement.
L’univers des festivals et de la création en général est fortement perturbé par l’engagement des artistes et des technicien-nes à défendre leurs droits. Beaucoup reconnaissent le bien fondé des revendications et des propositions faites depuis des mois face à un MEDEF, arcbouté sur ses positions, et à un gouvernement qui suit et s’attache à ignorer la situation pour appliquer des mesures qui marquent la fin d’un régime social basé sur la solidarité.
Déjà les droits rognés par des décisions antérieures ont eu des conséquences graves. Et il n’est pas besoin d’être grand clerc pour deviner que s’attaquer à un régime signifie que la revue à la baisse pour tous les autres fait partie de la stratégie.
Quel résultat sur l’embauche et l’inversion de la courbe des chiffres du chômage ? Se serrer la ceinture pour "redresser le pays", encore une vessie que l’on veut nous faire prendre pour une lanterne, encore une illusion pour crédules, pas encore touché-es peut-être par la "responsabilisation" chantée par les dirigeant-es…
Au moment où l’on découvre qu’en France 8 millions de personnes vivent sous le seuil de la pauvreté (chiffre de l’INSEE pour 2011), au moment où le blocage des salaires (hormis ceux des patrons) et des aides sociales se décrètent au prétexte de la "crise", on est en droit de poser une question : de qui se moque-t-on ? Autrement dit qui peut croire que la "crise" touche tout le monde ? Certainement pas le MEDEF qui jubile et songe, en dehors du fait de profiter des fonds publics, à l’opportunité que représente la "crise" d’avoir une main-d’œuvre bradée et souple, et à l’allégeance sans limites de ceux et celles qui l’encadrent. Quant à la COM-propagande et à la corruption, elles sont en pleine embellie. Vive la "crise" ! L’humanité est sacrifiée au nom du profit, c’est ce que l’on constate mondialement, globalisation du capitalisme oblige.
