
Dernier n° papier, le canard sauvage tire sa révérence avec ses chroniques, ses entretiens et ses reportages… Dernier numéro d’un trimestriel où il y a de quoi lire et regarder : 40 pages où les participants et participantes se sont lâché-es.
Ça commence comme ça : « La libre communication des produits et de la pensée unique est un des droits les plus précieux de l’homme riche. Tout larbin peut donc parler, écrire, imprimer, gémir librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi du…marché ! »
À noter en pages 17-18 l’article de Serge Quadruppani, Toucher le fond. Sur les attentats djihadistes des 7,8 et 9 janvier à Paris et leurs suites.
Mais le blog est toujours là :